Chacun son art,

chacun sa part

mar., 28 févr. 2023

Parfois mieux valent des images que des mots. Tout ça pour dire que quelques jours  après la fermeture de ce chacun son art, chacun sa part 2023. le moins qu’on puisse justement en dire c’est que ça a été un beau moment, un très bon moment. 

Alors comme pour tous les beaux moments, ça fait plaisir d’y repenser,


Pour s’en réjouir encore et encore, en revoir les images :

Edmond Baudoin est né le 23 avril 1942 à Nice. Il publie depuis le début des années 1970 et est apprécié de la critique et d'une frange du public.


Il a reçu trois prix du festival d'Angoulême, dont celui du meilleur album en 1991 pour Couma acò.


Après avoir passé son enfance et son adolescence à dessiner, il exerce la profession de comptable avant de revenir au dessin en 1971. Il a collaboré avec des revues de bandes dessinées comme Pilote, (À suivre) et L'Écho des savanes. De 1999 à 2003, il a été professeur d'art à l'Université du Québec en Outaouais. Ses albums sont principalement en noir et blanc. Leur originalité graphique se situe entre la peinture et la bande dessinée. Le fait qu'il utilise des pinceaux pour travailler ses aplats de noir n'est sans doute pas étranger à cela.


Edmond Baudoin est venu pour une rencontre dédicace au marché Ardinois en mai 2022. 


Récompenses

- Alph-Art du meilleur album pour Couma acò, Festival d'Angoulême 1992

- Alph-Art du meilleur scénario pour Le Voyage, Festival d'Angoulême 1997

-Alph-Art du meilleur scénario pour Les quatre fleuves, Festival d'Angoulême 2001


 http://edmondbaudoin.com/


Gaspard Njock est un artiste multidisciplinaire née en 1985 au Cameroun dans la ville de Douala. Il crée, produit et divulgue des spectacles qui mêlent la musique et les arts plastiques, en particulier l’opéra et la bande dessinée….

La suite en cliquant sur l’image ci-contre 

 : 

Site internet : https://www.gaspardnjock.com


Maryline Baudoin a grandi dans les Vosges. Après Nancy, les Comores dans l’Océan Indien, Poitiers, elle passe un long temps à Douai, puis se pose à Ardin dans les Deux-Sèvres

Dans un première vie, elle est chargée d’études à l’INSEE. Mais vraiment, ce n’est pas son truc. Alors, au bout de 15 ans de service, le flash ! Maintenant, elle va faire ce qui lui correspond le mieux ! 

Depuis. toujours plus consciente des problèmes environnementaux qui s’annoncent, elle dessine, écrit, s’auto-édite, peint et expose.

BIBLIOGRAPHIE: 

« Placine, Renard, là où le canal s’élargit», bande dessinée, 2011.            Sélection officielle FIBDA Alger. 

 « Douai de mère en fille», recueil de dessins co-signé avec Lucie Baudoin, 2013. 

 «Pages abandonnées», roman graphique, 2014.
En sélection officielle  FIBDA Alger. 

 - Nina » conte philosophique illustré, fin 2019.

- Prochain album: «Lettre au monde» 2023-2024


Site internet : marylinebaudoin.com


Geoffroy Boizon

Après son école d’art, Geoffroy Boizon a été illustrateur à Poitiers pendant un certain nombre d’années. Les questions qu’il se posait sur le monde l’ont poussé à changer radicalement de vie pour devenir paysan-boulanger. Artiste là aussi en matière de pain, il a créé les Jardins vagabonds, s’est occupé de l’animation du Marché ardinois, pour finalement revenir à l’illustration. Il a réalisé la mise en page de l’affiche et programme de «chacun son art, chacun sa part» et travaille actuellement sur la création d’un jeu de familles pour la commune de Ardin

Léna du Soleil de Serzais

La danse a mené Léna Warnitz vers le cirque aérien, qui ne l'a plus quitté depuis. 

Cela réunit tous ses intérêts : la scène, l'adrénaline, et la créativité. 

Grâce à cette discipline, elle découvre également de nouvelles affinités : la pédagogie et le sens de la communauté. Après avoir pratiqué le tissu aérien dans toutes ses directions, Léna présente sa première pièce en corde lisse : « Chercher trouver », avec toujours le même objectif : faire de sa vie un cirque.

https://cirqueaerien.wixsite.com/lesoleildeserzais


Jean-Charles Lescroart

Jean-Charles Lescroart habite à Douai dans les Hauts de France. Il y est médecin et même parfois médecin du monde. Quand il ne soigne pas les autres, il prend sa guitare dans sa maison de Coulonges-sur l’Autize pour le bonheur des siens.


C’est un médecin artiste. Il aime la peinture et la musique. Avec des amis Il a créé plusieurs groupes dont, Rock in chair. 


Avec ces groupes il participe chaque année à la fête de la musique. Il organise des concerts dans lesquels il se produit au profit d’associations humanitaires telles que Élevages sans Frontières … 

ET quand il n’organise pas tout ça, il aime prendre sa guitare pour glisser au creux d’une exposition ou l’autre des temps musicaux fort appréciés de tous.

Jean-Charles Ferrand

Jean-Charles Ferrand sculpte le bois entre coeur et écorce selon la méthode de la « taille directe ».

Dans cette technique de création l’oeuvre est totale, exigeante et de longue patiente ; il faut percevoir la sculpture au sein de la matière et la révéler.

La mise en oeuvre suppose une osmose entre le sculpteur et le matériau, afin de respecter l’esprit de l’arbre. La taille doit se faire caresse, le risque est permanent, chaque coup de gouje irréversible, pas de repentir ni de marche arrière !

Aller dans le sens du bois mais ne pas hésiter à le provoquer, à le pousser dans ses dernières limites, à ne laisser que l’épaisseur nécessaire pour mettre en résonance les fibres. Faire vibrer la sculpture  comme une table d’harmonie, tailler au cœur, aviver ses tensions, y faire pénétrer un vent de folie et un éclair de lumière, tel est l’art de Jean-Charles Ferrand.

https://www.instagram.com/jeancharles.ferrand/


Nathalie Gillard


Nathalie Gillard vit à Douai dans le nord de la France. Passionnée d’art, elle est art-thérapeute. Parallèlement à cette activité, elle est sculptrice céramiste, et utilise une technique de cuisson inspirée du raku japonais. La féminité et la nature l’inspirent. 

Les sculptures et céramiques qu’elle crée mêlent élégance teintée de couleurs, et poésie faite de tendresse. 

Artiste réputée, elle est appelée à régulièrement exposer dans diverses galeries et multiples salons des Hauts de France. Par ailleurs Elle a déjà déjà été amenée à exposer hors des frontières, notamment en Belgique et en Chine.

https://www.instagram.com/nat.gillard/?hl=fr


Patte d’Ours

Jean-Louis Chuffart connu sous le pseudo de Patte d’Ours est né en 1957 et habite une commune de l’Indre-et-Loire, à Montbazon.

Dès son plus jeune âge, il a débuté aux Beaux-Arts de Tours, puis à l’école Brassard pendant 3 ans dans le dessin publicitaire. Il a travaillé une longue période comme illustrateur-graphiste à D.A.

Parallèlement il s’est lancé dans la reconstitution historique, époque du 18ème, œuvrant dans le travail du métal, ce qui finalement a provoqué un déclic dans sa créativité…

S’épanouissant enfin dans le travail du métal, il aime la sculpture sans contrainte, sans dogme, sans frontières, dans une perpétuelle remise en question. IL sait que la trois!ème dimension est une porte ouverte sur l’imaginaire.

Il les assemble pour que la lumière, cette partenaire invisible, les révèle dans leur différence.

Les lois de l’harmonie et de l’équilibre…

Il aime aussi agrémenter le métal avec d’autres matériaux comme le bois d’if, le verre et la pierre.

Patte d’Ours a l’âme d’un artiste : il a le métal au coeur et mets ses sculpture au service de l’art pour transformer la matière brute en une création originale et vivante.


David Boutin

David Boutin, est né en 1971 à Orléans. Il a ensuite grandi à Saintes, ville gallo-romaine, où est née sa passion pour l’archéologie et également la préhistoire.

Après avoir travaillé 25 ans dans le domaine de l’imprimerie et du façonnage, David a souhaité se diriger vers ses passions premières: la terre et l’archéologie.

Installé Potiers depuis 2018, après une courte formation de tournage, il a construit son propre four gallo-romain, et s’attache depuis à reproduire les céramiques gallo-romaines des 1er et 2ème siècle ap JC que l’on trouve dans les divers rapports de fouille ou publications archéologiques. La spécificité de l’époque est la technique de la sigillée (revêtement argileux naturel qui vitrifie à la cuisson – rendant la poterie étanche, comme un émail).

L’objectif était de pouvoir sortir ces pièces des musées et pouvoir montrer au grand public toute l’étendue des savoir-faire de cette époque florissante.

https://www.argilites.fr/adherents/david-boutin/